Pâques 2024: Que le « Burkina Faso redevienne un havre de paix »,(FEME)
A l’occasion de la Pâques chrétienne prévue le 31 mars 2024, la Fédération des Eglises et Missions Evangéliques (FEME), souhaite à tous les Burkinabè, la paix avec Dieu à travers l’Agneau de Dieu, la réconciliation et le mieux-vivre ensemble entre tous les Burkinabè.
A l’oréé de la Pâques 2024, la Fédération des Eglises et Missions Evangéliques dans un message, est revenu sur la signification de la Pâques, qui est « la fête de la résurrection du Christ est au cœur de l’Evangile et du Christianisme. »
« C’est parce que Christ, l’Agneau de Dieu est mort pour expier nos péchés, que Son sacrifice a été agréable à Dieu, et Dieu L’a ressuscité d’entre les morts. « Car Christ, Notre Pâque, a été immolé » », a précisé le Pasteur Henri Yé, le président de la FEME dans son message.
Il ajoute que la commémoration de la Pâques rappelle aux hommes que Dieu a tant aimé le monde « qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui, ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle ».
Dans le message, la Fédération des Eglises et Missions Evangéliques est aussi revenu sur la paix la paix au monde et au Burkina.
Pour que s’instaure une paix durable, soutient-elle, il est important que « chacun de nous fasse la paix ; d’abord la paix avec Dieu au travers du pardon de ses offenses. C’est par Christ l’Agneau de Dieu que nous avons le pardon de Dieu. C’est pourquoi en célébrant cette Pâques, nous demandons à Dieu de nous faire grâce en nous montrant Sa grande miséricorde. »
Pour vivre ensemble dans la paix, la cohésion et la quiétude, les hommes selon la FEME, doivent se pardonner entre eux après qu’ils aient reçu le pardon de Dieu.
« Nous prions pour que Dieu donne au Burkina Faso de retrouver sa paix et sa quiétude d’antan. Que le Burkina Faso redevienne un havre de paix où il fait bon vivre. », a déclaré le pasteur Henri Yé, président de la FEME.
Pour la FEME, il est temps pour que tous les Burkinabè de l’intérieur comme de l’extérieur « se donnent la main d’association pour venir à bout de nos différences, et pour construire un Burkina nouveau où règnent la paix et le mieux-vivre ensemble. Cela n’est possible que si chacun de nous se tourne vers Dieu le Tout-puissant ».
